Je suis tombé sur un sympathique article de Bernadette Atlan sur son blog "Nomade's land".
On peut y lire : "Sébastien Ortiz a parfaitement perçu et décrit ce qui différencie fondamentalement l'Inde et le Japon. Deux cultures irréductibles, riches et passionnantes chacune à leur manière : la vie dans son jaillissement pour l'une, dans sa plénitude pour l'autre. Du grand art."
Ça se trouve ici.
On trouvera un autre article sur "La solitude du bonsaï" sur le blog de Véronique Atasi, qui avait déjà écrit sur "Fantômes à Calcutta". Merci à elle !
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